Présenté ici comme un nouveau service , il s’agit en fait de la nouvelle ergonomie d’une offre qui avait été lancée il y a quelques années sans rencontrer le succès espéré.

Le principe est assez simple.

1. S’inscrire en ligne en ouvrant un compte personnel ou professionnel
2. Créditer son compte (0,93€ pour chaque carte envoyée)
3. Envoyer des cartes électroniques (voeux, événement, anniversaire, etc.)

• choisir la carte parmi différentes collections

• choisir le message

• choisir les destinataires (un par un, ou à partir d’un carnet d’adresse qui peut être importé)

• choisir le mode d’envoi (immédiat ou différé)

• possibilité d’avoir un accusé de réception pour chaque envoi

Concernant la possibilité d’envoi groupé et de gestion du carnet d’adresses, une modernisation utile aurait pu consister à pouvoir récupérer directement ses contacts depuis un compte gmail, ou de pouvoir publier sa carte sur un compte facebook (mais le service consommerait dans ce dernier cas un moins grand nombre de crédits !  ).

Ce service peut être utilisé par des entreprises qui pourront alors attribuer des crédits à des collaborateurs ou les offrir à des clients.

Dans ce contexte professionnel, les cartes peuvent être personnalisées et la mise en oeuvre d’une charte graphique est possible (forfait supplémentaire à prévoir).

La gestion du compte peut alors devenir un peu plus délicate, ce qui justifie un guide utilisateur très complet, accessible en ligne (voir ici).

Il ..

peut-être un internaute qui s’engage dans un processus de don en ligne ou d’inscription à une newsletter, ou encore un volontaire bénévole qui remplit un premier formulaire d’engagement, ou enfin un sympathisant à qui l’on demande de s’engager en signant une pétition.

Dans tous les cas, le moment est crucial car toutes les études montrent que c’est souvent lors de cette étape que l’on constate un abandon.

Vous trouverez ici (capitaine commerce 2.1) une étude instructive sur le formulaire de création de compte de la boutique camaieu (prêt à porter féminin).

L’auteur liste un certain nombre de bonnes pratiques, destinées à améliorer l’ergonomie d’un tel formulaire :

• Expliquer et justifier les données demandées
• Faire court, éviter les formulaires multi-pages
• Contrôler la saisie en temps réel
• Eviter de demander des informations sous la ligne de flottaison

A voir également dans ce même esprit l’offre REVERSOFORM , qui propose la mise en place de formulaires où l’internaute ne saisit que son numéro de téléphone, son adresse est affichée automatiquement !

Lancé le 22 avril dernier, le site HANDIQUESTA propose des offres d’emploi aux personnes handicapées.

Déclinaison de site déjà existants (IQUESTA, AKTIVEO) édités également par la société M2 INTERACTIVE, sa particularité est de disposer d’un portail d’entrée qui permet à l’internaute de choisir un type d’accès, selon la nature de son handicap :

• non-voyant
• malvoyant
• déficience motrice avec accès par pointage
• déficience motrice avec accès par défilement

Le site est également accessible aux personnes non handicapées.

Après tout, ce sont les donateurs de demain, et les prescripteurs voire la cible pour certains, d’aujourd’hui ; alors intéressons nous à leur usage d’Internet.

Vu sur blog MCI, quelques enseignements tirés d’une étude –très– qualitative, portant sur 12 jeunes américains, et leur utilisation de Google (on ne peut qu’être admiratif sur la capacité des chercheurs américains à valider 9 pages de conclusions (?) à partir d’une population aussi réduite).

Vous y apprendrez en particulier que :

• les enfants ne regardent pas l’écran quand ils tapent au clavier ;
• ils trouvent qu’il serait plus simple de juste penser à ce que l’on cherche pour voir apparaitre les résultats à l’écran ;
• ou d’utiliser un « microphone magique » qui permettrait de poser sa question ;
• ou encore de disposer d’un clavier avec plus de boutons pour aller plus vite ;

Un lien sur l’intégralité de l’étude

Voir également à ce sujet un billet plus ancien sur PEG veille pour vous, portant plus généralement sur l’utilisation d’internet, et faisant référence à un numéro spécial des cahiers pédagogiques (beaucoup plus « français »..)