On pouvait acheter une brique, financer une chambre, adopter un banc, une statue ou un arbre, adopter un animal.

Et bien il est maintenant possible d’acheter (virtuellement !)  une couleur parmi les 16 700 000 pouvant s’afficher sur un écran informatique, et d’en faire profiter l’UNICEF UK.

Cette bonne action est possible sur le site ownacolor, fruit d’un partenariat engagé entre AkzoNobel (peintures DULUX) et l’UNICEF UK.

L’ergonomie du site pourrait être revue, et le lien entre un fabricant de peintures et l’UNICEF n’est pas évident, même si ce fabricant (DULUX) est également à l’initiative du projet LET’S COLOR, dont le but est « d’ajouter de la couleur à la vie des gens » (voir ici leur page Facebook pour la France).

Mais avec – un peu – de bonne volonté il est possible de finir par comprendre de quoi il s’agit et comment cela fonctionne !

• on choisit sa couleur, en la sélectionnant dans la palette ou en la cherchant par son nom.

• Pour procéder à l’achat, pas moins de 6 formulaires successifs  (!!) sont nécessaires pour que le paiement aboutisse :

1. 1. Saisie de son nom et email, en cas de cadeau, saisie du nom du destinataire.
   2. Choix du montant du don.
   3. Saisie facultative de son numéro de portable.
   4. Saisie de l’adresse, opt-in, acceptation des conditions générales.
   5. Choix de la devise et du mode de paiement.
   6. Paiement proprement dit, sur un site sécurisé, pour les courageux qui n’auront pas abandonné leur pot de couleur entre temps !!

Voici ces étapes :

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vu ici sur l’Atelier

Une bonne action pour l’entreprise peut se transformer en bonne action tout court !

Inciter un commercial à réaliser ses objectifs de vente est -relativement- simple, la part variable de la rémunération est là pour cela.

Inciter un employé à faire des économies sur les fournitures, les frais postaux, etc. peut s’avérer plus compliqué.

Grace à la plate-forme GivingCorner, les actions concrètes réalisées en vue de la réalisation de tels objectifs vont être converties en points, puis les points en dons, dons qui seront versés à une association choisie parmi un panel sélectionné par l’entreprise.

Chaque employé dispose d’un compte nominatif sur cette plate forme qui lui permet de comptabiliser ses actions.

Les employés peuvent également se rassembler en équipes afin de se lancer des défis, proposer eux-mêmes des associations ou des projets.

Un système de back-office et de reporting permet de visualiser les résultats obtenus.

Des assocations telles que la Croix-Rouge, SOS Villages d’Enfants, Entrepreneurs du  Monde, sont déjà référencées.

Jusqu’à présent, comme son nom l’indique, ce service proposait (depuis février 2010) de collecter au profit d’associations, via l’insertion d’une signature dans les mails.

De nouveaux services sont maintenant disponibles sur le portail, et ce depuis octobre 2011.

Après s’être inscrit, l’internaute est invité à choisir l’association qu’il désire soutenir.

Il pourra alors manifester son intérêt envers cette cause de différentes façons :

• Recommander l’association sur Facebook.
• Visionner une publicité et collecter de cette façon 0,07€ (60% des internautes visionnent une vidéo lors de leur visite).
• Faire un don directement sur le site, au profit de l’association soutenue.
• et toujours donner via l’insertion d’une signature dans les mails.

Un peu plus de 30 associations sont référencées à ce jour sur ce portail, allant d’Action contre la Faim à l’Adive, en passant par les Toiles enchantées.

Le portail a permis de récolter (email, don, soutien confondus) environ 10 000 euros depuis sa création (reversés tous les 4 mois aux associations), pour un nombre moyen de soutiens sur Facebook compris entre 800 et 1 200 pour chaque association.

Ce service est gratuit  pour les associations. Le portail se rémunère de deux façons :

• lors d’un don, l’internaute peut reverser un « pourboire ».
• 30% des revenus générés par la lecture d’une vidéo publicitaire (soit 0,03€;  0,07€ étant reversés à l’association).

vu ici sur l’Atelier,

Karma Kingdom est un nouveau jeu social sur Facebook, qui intègre une dimension caritative.

Un partenariat a été signé entre l’éditeur du jeu (Asvathaa) , et la Sankara Eye Foundation, qui récolte des fonds pour des hôpitaux ophtalmologiques en Inde.

Lorsqu’un joueur achète un hôpital de la SEF durant une partie, la moitié de ses crédits Facebook sera reversée à la Fondation.

Dans un autre esprit, un autre éditeur de jeu (Zynga) avait lancé à l’automne 2011 une opération en partenariat avec Pizza Hut,  selon laquelle tout donateur de 5€ au programme du WPF pouvait se voir remettre un objet utilisable lors de la partie.

La course des héros est une opération maintenant installée dans le paysage caritatif français, et maintenant européen.

8 villes européennes sont concernées par l’édition 2012 de cet évènement créé en 2010 par Alvarum.

Le principe est simple :

chaque participant (le héros) s’inscrit, et ouvre une page de collecte de don en ligne sur le site dédié de l’opération. En mobilisant ses proches, il collecte au moins 300€ qui seront reversés à l’association de son choix.

Bilan des dernières années :

• Première édition, le 6 juin 2010 : 600 coureurs, représentant 45 associations, ont collecté  plus de 300 000 € au profit de 45 associations et ONG.
• Seconde édition le 26 Juin 2011 : 1 250 coureurs, représentant plus de 80 associations caritatives et ONG ont collecté plus de 600 000 €.

Au delà de cet évènement, Alvarum (anciennement aiderdonner), est une plateforme de collecte, qui permet à un internaute d’ouvrir une page de collecte dédiée à un évènement (mariage, etc.) et affectée à une association.

Il sera intéressant d’évaluer le niveau de « transfrontiarité » de la version 2012, pour savoir si les coureurs français, belges, ou allemands collectent plutôt au profit de petites associations locales, de grandes organisations nationales de leur pays, ou encore de structures internationales.

Résultat fin 2012, car 11 courses seront organisées entre les mois de mai (Berlin) et octobre (Munich).

On connait le principe des cartes de crédit pré payées.

La particularité de cette carte est que 20% du montant est versé à une association.

Cette association peut être choisie par l’acheteur de la carte lors de l’achat de celle-ci, ou par son destinataire au moment de son activation.

Le choix peut être fait parmi une liste d’associations pré-définies (la carte est alors aux couleurs de l’association), ou parmi l’ensemble des associations canadiennes.

Voir ici pour plus de détails.

En France, la Fondation Arthritis propose un tel système depuis fin novembre, en association  avec la société Creacard.

Voir les détails de cette opération ici

Give A Car est une OSBL anglaise lancée en janvier 2010 qui récupère votre vieille voiture, la revend, et donne le produit de cette vente (diminués de 25% de  frais de gestion) à une des  OSBL référencées dans des secteurs allant de la protection animale aux sports, en passant par la lutte contre la pauvreté.

A ce jour, elle a ainsi reversé  plus de 450 000€ à plus de 500 associations.

Le processus décrit est assez simple :

• informez Give A Car que votre véhicule est à vendre (par téléphone, ou en remplissant un formulaire en ligne).
• sous quelques jours, il sera récupéré.
• selon le cas il sera vendu à la casse ou aux enchères.
• Le produit de la vente ira à l’association de votre choix, qui vous informera du don reçu.

Pennies est un système de micro-don développé en grande bretagne qui permet au consommateur d’arrondir sa facture au moment d’un paiement par carte en magasin ou en ligne.

Au bout d’un an de fonctionnement, il a recueilli  1 million de dons correspondant à près de 300 000€.

Les dons, recueillis par le bias de partenariats avec Domino’s Pizza, Travelodge, Zizzi, The Entertainer et la Rugby Football Union, sont reversés à 20 OSB, choisies par les partenaires et la Fondation Pennies.

Le partenaire choisit la ou les OSB qui seront bénéficiaires de la plus grande part des dons recueillis par lui. Le reste sera attribué à des OSB choisies par la Fondation.

De nouveaux partenariats sont attendus, en particulier avec les boutiques de l’association SHELTER (équivalent des boutiques EMMAUS).

Différents développement technologiques sont attendus :

• Des prestataires tels que Commidea et Ingenico se sont joints au mouvement en mettant à jour ou en développant des solutions de paiement adaptées.
• Un partenariat avec Cardsave, fournisseur de solutions de paiement électronique pour les petits commerçants, a été initié. Ceci permettra aux consommateurs de supporter des OSB locales.
• Il sera bientôt possible, grâce à l’application Simply Tap, d’utiliser le système via des paiements effectués via mobile.

Ce projet intéresse les associations qui oeuvrent dans les domaines suivants :

• la Petite enfance (de 2 à 6 ans) : les projets auront pour objectif de familiariser les enfants avec la langue écrite et l’acquisition du vocabulaire de façon ludique, en associant activement le milieu familial

• l’Adolescence (10 à 15 ans) : les projets auront pour objectif de consolider les savoirs de base en stimulant les capacités de communication et d’expression personnelle.

Date de lancement: 24 janvier 2011

Date de clôture : 31 mars 2011

Plus de détails ici, sur le site de la Fondation Solidarités SNCF

Le dossier de candidature peut être téléchargé ici

L’objectif de ce site (réalisé par l’agence e-lixir), est d’être un lieu de rencontre entre les associations et les entreprises.

Il est administré par l’association IMS Entreprendre pour la cité, créée en 1986, qui anime un réseau de 200 entreprises autour de projets liés à leur engagement sociétal.

Ces extraits de la présentation faite sur le site expriment bien ses objectifs :

• Une entreprise souhaite soutenir une association qui, près de chez elle, vient en aide aux plus démunis…
  Une PME, nouvellement implantée en Bretagne, voudrait participer à la préservation du littoral marin…
  Une troisième ne sait pas exactement dans quel domaine s’engager et cherche des idées…

• En quelques clics, l’association peut mettre ses projets en ligne.
  En quelques clics, l’entreprise peut repérer les associations qui l’intéressent et se mettre en relation avec elles !

• Et pour aller plus loin, entreprises et associations trouveront également des conseils, une documentation et un annuaire d’experts pour les aider dans leurs démarches.

A ce jour, environ 60 associations (voir ici la base associations) oeuvrant dans différents secteurs d’activité ont mis en ligne différents projets.

20 entreprises sont inscrites (voir ici la base entreprises).

Une infothèque (réalisée en partenariat avec le Rameau), présente une base d’informations utiles, regroupée en 2 chapitres

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