Vue sur le Journal du net, une comparaison entre ces 3 solutions de stockage en ligne, dont nous reprenons ici une synthèse.

L’intégralité de l’article peut être consultée ici

La gestion de fichiers

• Google Drive plus rapide, mais pas de limitation de taille pour Dropbox

L’intégration bureautique et la collaboration

• One Drive assez loin devant
• Dropbox limité au stockage en ligne

OS et terminaux supportés

• One Drive supporte en plus les terminaux Windows phone, et Dropbox les blackberry

Tarification

• Les tarifs indiqués concernent les offres entreprises.

vu sur l’Atelier (ici), cet application gratuite qui permet de définir un jeu de données statistiques et sa représentation graphique, puis de le publier sur un site.

Ces éléments seront alors à la disposition des internautes, qui pourront « jouer » avec les données et leur représentation.

Le slogan de cet éditeur est « Data in, Brilliance Out » que l’on pourrait traduire par la lumière jaillit des données

Voici par exemple la représentation de l’évolution du CA de différentes sociétés, selon leur secteur d’activité :

Le jeu consiste ici pour l’internaute à cocher tel ou tel secteur d’activité, pour afficher les courbes d’évolution des sociétés correspondantes.

Vous trouverez d’autres exemples sur le site de l’éditeur (ici), ainsi qu’un didacticiel et l’accès à une communauté en ligne avec laquelle vous pourrez échanger questions ou expériences.

A l’heure où la transparence est de rigueur dans la publication des comptes et l’évaluation des actions menées, un tel outil permet d’aller au delà d’un simple « camembert », en ajoutant en particulier la notion d »interactivité qui facilite l’appropriation des résultats par l’internaute.

Dans un autre ordre d’idée, mais toujours dans le chapitre « comment faire vivre des données », je ne résiste pas à la tentation de vous inviter à aller visiter le site de ce gourou des statistiques : prenez les quelques minutes nécessaires pour visionnez cette présentation décoiffante.

Des idées à prendre pour animer un prochain comité de direction, ou une assemblée générale :

le site de Hans Rosling ici, le site de l’organisation qui développe le logiciel de présentation GAPMINDER ici

Ce nouvel outil de Google réinvente la notion d’email, en intégrant un grand nombre de fonctionnalités

• mail
• chat
• partage de document
• réseau social

au sein d’un espace de communication unique accessible à partir de son navigateur.

Synthèse vue sur le blog de Francis Pisani dans le Monde, à lire ici

Cliquez ici pour vous pré inscrire sur le site de Google, vous serez averti lors de la mise en ligne de ce service.

Voir également ici un dossier à ce sujet sur le Journal du net

30 000 salariés du groupe vont désormais accéder à un nouvel espace de travail basé sur l’édition ‘Premier’ de Google Apps.

Il s’agit de la version payante des applications en ligne de communication et de collaboration (Gmail, Google Agenda, Docs, Sites, Talk…)

Le support est assuré par CapGemini.

Vu sur NetEco cette information, le détail ici

Voir également ici une interview de Louis Naugès (septembre 2008), évoquant cette mutation vers le SAAS (Software As A Service)  dans un cadre plus général, et prenant l’exemple de Valéo.

Voir enfin ici un article de businessweek (14/05/2009), qui évoque des alternatives telles que Zoho, ou les futures versions en ligne d’Office.

General Electric, qui s’était lancé avec Google Apps il y a 2 ans, revoit maintenant sa position pour la mettre en concurrence avec ces autres solutions.

Alternative à la « suite » Google docs, elle-même alternative à Microsoft Office ou Open Office, cette offre propose (depuis 2005 pour le « Writer ») un ensemble d’outils (« Apps ») très complets et gratuits (bien que certaines extensions soient payantes dès lors que l’on souhaite dépasser un certain nombre d’utilisateurs) :

Selon la manière dont on aborde les outils, l’interface n’est pas systématiquement traduite en français, ce qui peut être un frein dans certains cas.

Dans l’ensemble les modules disposent de plus de fonctions que ceux du concurrent Google Docs.

L’ouverture d’un compte ZOHO est très simple, il est même possible d’utiliser son compte gmail.

Différentes interfaces d’accès sont possibles. A partir du menu « PERSONAL », on dispose de l’ensemble des outils, de façon intégrée, assez commode :

• choix des applications, dans la colonne de gauche
• accès à l’application retenue, dans la partie centrale
• paramétrages divers, sur la première ligne

Je détaillerai dans de prochains billets les principaux outils disponibles.
Ils semblent pour certains supérieurs à ceux que propose Google, mais l’expérience a montré que la supériorité en la matière n’était pas forcément le plus important (cf. par exemple Paradox ou WordPerfect vs Microsoft).

Oui, j’ai bien dit Doodle, avec un D comme « Décidément, on trouve tout sur internet »

un site mono produit, qui permet de créer une question, et d’envoyer le lien correspondant aux répondants.

Typiquement, permet de préparer une réunion (choix d’une date parmi plusieurs), ou d’enregistrer les réponses à une question.

Un des intérêts, par rapport à un questionnaire Google, est la possibilité de permettre aux répondants de voir l’ensemble des réponses déjà enregistrées.

Un outil de plus, dans la palette des utilitaires existants sur internet.

Dans de nombreuses situations, il peut être utile de disposer d’un outil permettant :

d’effectuer un sondage rapide auprès du réseau ;

de disposer rapidement de données locales pour les consolider ;

de demander son avis au lecteur d’une lettre d’information, ou au visiteur d’un site (exercice pratique en fin d’article !).

Un outil simple et gratuit est à notre disposition, dans le cadre de

Rustique naturellement en terme de mise en page et de traitement de questionnaire (il ne permet pas en particulier de gérer les relances ou de suivre les non répondants dans le cas d’un questionnaire envoyé à une de destinataires connus), mais bien suffisant dans de nombreux cas et très simple de mise en oeuvre : Quelques minutes suffisent pour créer et publier un questionnaire d’une page, composé de plusieurs questions.

Le principe ?

Le questionnaire est créé et administré par l’intermédiaire de Google documents, une des applications proposées par Google. (cela suppose naturellement d’avoir un compte Google !)

A la base, le questionnaire est stocké dans une feuille de calcul. Ce document sera accessible aux répondants sous la forme d’un formulaire et à son son auteur sous la forme d’une feuille de calcul, pour visualiser le détail des réponses enregistrées, ou la synthèse des réponses.

La mise en place ?

La description détaillée de la procédure est décrite dans le document gerer-un-questionnaire-avec-google-docs.

1. Créer un nouveau document, feuille de calcul format formulaire.
2. créer les différentes questions (elles peuvent être de type texte, case à cocher, choix multiple, etc.).
3. envoyer aux répondants le lien vers le formulaire par mail (utilisation possible de la liste de contacts gmail), ou publier le lien vers le formulaire sur un site internet.

L’exploitation ?

Les réponses sont enregistrées en temps réel dans la feuille de calcul, la date et l’heure de la réponse sont automatiquement indiquées.

Les données peuvent être ainsi exploitées, sachant qu’une ligne du tableau correspond à une réponse, chaque colonne correspondant à une question.

Une synthèse est disponible sous forme de graphiques.

Comme promis, un exercice pratique :

Le questionnaire « Que pensez vous de PEG veille pour vous ? » a été généré par l’intermédiaire de Google Documents.

Cliquez ici pour me donner votre avis, et me permettre de veiller dans la bonne direction !